Avec la levée des mesures sanitaires, les Loisirs de Bonsecours ont pu tenir leur première assemblée générale annuelle en trois ans. La majorité des membres ayant quitté au courant de la pandémie, la présidente en poste était prête à dissoudre l’organisme la semaine dernière.
La séance s’est ouverte avec un état de la situation de la présidente sortante, Geneviève Simon : « On a dû annuler énormément d’événements à cause de la pandémie. C’est un peu la raison de la démotivation actuelle sur le CA. On a organisé deux fois des Fêtes des neiges qu’il a fallu qu’on annule à la dernière minute. On s’investit, on fait des projets, on fait des réunions, puis les mesures sanitaires tombent, puis on n’a pas le droit de rassemblement. Ça fait qu’il faut annuler. »
La dernière activité majeure des Loisirs de Bonsecours a été la Fête des neiges du 15 février 2020. Depuis, plusieurs activités annulées ont mené à plusieurs départs de membres au conseil d’administration. L’AGA du 11 mai s’est donc ouverte avec seulement deux membres toujours en poste, mais qui désiraient céder leur place.
Les deux avenues qui se présentaient étaient donc la dissolution de l’organisme ou l’implication de nouveaux bénévoles. C’est la seconde option qui a prévalu, au grand soulagement de la présidente sortante. Le comité renouvelé est constitué de quatre membres, auxquels vont venir se greffer d’autres citoyens.
Sur la photo d’en-tête, on reconnait Geneviève Simon, secrétaire et anciennement présidente; Doris Roy, trésorier; Jessica Fortier, nouvelle présidente; Nancy Arnold, vice-présidente et fondatrice; ainsi que Charles Corbeil, membre.
Aussitôt élu, le nouveau conseil d’administration s’est mis à plancher sur ce qui constitue la plus grosse activité annuelle des Loisirs de Bonsecours : la Fête nationale. On confirme déjà que le feu de joie et les feux d’artifice seront agrémentés du duo Su’l divan, à l’animation musicale.
« Mon but, c’est de ramener ce qu’on a vécu dans les bonnes années », s’enthousiasme la nouvelle présidente Jessica Fortier. « Cette année, à Bonsecours, ça va être la place où aller! »
