Le Val-Ouest

Publications de Michel Carbonneau / Chroniqueur

Ah oui, j’allais l’oublier, c’était l’été !

Ah oui, j’allais l’oublier, c’était l’été ! Nous avons bien mis neuf heures à rouler. Histoire de nous ménager un peu, nous les avons réparties sur deux jours. C’était au tout début du mois d’août. La destination ? Un grand lac perdu au fond des bois. Comme celui de Vigneault. Un beau lac tout bleu

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La Survenante

Au printemps 2023, voilà qu’une Outarde venait se joindre à notre petit groupe d’oies domestiques. J’écris Outarde, mais je devrais plutôt écrire Bernache du Canada. Il n’existe pas d’outardes au Canada. Ce qui fait dire à certains malins qu’il faudrait rebaptiser la Chute-aux-Outardes et la Pointe-aux-Outardes qu’on retrouve sur la Côte-Nord… Je ne vais pas

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Identité, langue et culture

  Les lilas ont fleuri. Ils embaument sans retenue. Plus hâtifs et généreux qu’à l’habitude. Et tellement impressionnants avec leurs cônes lourds de leur enivrant parfum. Dame nature semble vouloir rappeler qu’elle pourrait et peut encore faire des merveilles pour peu qu’on lui en donne la chance. J’aimerais bien que l’usage du français au Québec

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Du labyrinthe stellaire au labyrinthe des égarés

  L’éclipse solaire est déjà loin derrière, mais le phénomène m’habite encore. J’y aurai consacré plusieurs heures. D’abord en préparatifs. Chercher l’information sur les précautions à prendre, trouver les bonnes lunettes de protection1, transformer une boîte de carton en écran de visionnement, choisir le meilleur endroit pour observer le phénomène, y installer des chaises inclinables

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Sursaut printanier

    Je ne sais pas quelle mouche m’a piqué. Le besoin de me changer les idées ? De passer à autre chose ? De sortir ? Une publicité parue dans le Val-Ouest a attiré mon attention. Deux minutes plus tard, ma douce était convaincue et nous réservions deux billets pour le concert du pianiste

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Hymne à l’espoir

Hymne à l’espoir 1 Pendant que les stratèges Bien à l’abri et de loin Raffinent attaques et pièges Pendant que les soldats Sursautent au moindre bruit Rêvant d’une accalmie Moi, moi, je rage Moi, moi, je rage Pendant qu’des chefs d’état Peaufinent leurs manèges Pour broyer l’ennemi Pendant qu’les armuriers Courtisent les captifs De combats

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Faits d’hiver

Hilo J’en suis à ma troisième année « Hilo ». Ce plan d’économie a été conçu par Hydro-Québec pour freiner la demande les jours de grands froids aux heures de pointe, soit de 6h à 9h et de 16h00 à 20h00. Pour celles et ceux qui ne connaitraient pas ce programme, il s’agit de réduire sa consommation

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Me ressaisir

  Je cherche encore. Me cherche encore. Je me suis pourtant bien préparé comme tous les automnes. Fermé l’eau, sortir les pelles, dépoussiéré manteau d’hiver, bottes, tuque et mitaines, installé les pneus à neige. Les décorations n’attendent plus que la neige et le père Noël. Mais le cœur n’y est pas. Je n’ai pas vu

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Le système de santé du Québec le plus privé du Canada ?

Ma Douce et moi avons été invités à participer à un atelier de réflexion avec une trentaine de personnes sur la place du privé dans l’offre de soins de santé. Sujet sensible et d’actualité, du moins au Québec, voire au Canada tout entier ! La convocation nous est venue de l’AMC, pour Association Médicale Canadienne. Je

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Sacré climat

J’ai décidé d’y voir clair une bonne fois, enfin plus clair, et n’ai ménagé aucun effort pour démêler le vrai du faux. Encore que… Pour être bien compris, je vais d’abord préciser ce qu’il faut entendre par gaz à effet de serre et quels sont ces principaux états aériens, pour ne pas dire fumeux, qui

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Dans l’espoir d’un temps nouveau

Je sens bien que quelque chose m’échappe. Ce n’est pas que l’été ait été trop court, c’est qu’on ne l’ait pas aperçu, ni de proche ni de loin. Mises à part les quelques bouffées de chaleur, rien qui ne rappelle l’été. Il était aux abonnés absents. Pas possible de faire sécher le foin. « L’Estrie

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J’ai perdu mon médecin de famille

Après dix-huit années de bons et loyaux services, voilà que ce premier juillet, mon bon docteur m’a abandonné pour cause de retraite bien méritée. Il a cherché sans succès un collègue qui m’aurait intégré dans sa liste de patients. Je l’aimais bien. Nous n’étions pas devenus amis, mais une fois passés en revue les résultats

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Michel Carbonneau / Chroniqueur