En cette journée de commémoration nationale en mémoire des victimes de la COVID-19, Andréanne Larouche, députée de Shefford, exprime sa solidarité à l’égard de toutes les personnes qui ont perdu un proche durant la pandémie et désire souligner l’apport inestimable de tous les Québécois et de toutes les Québécoises qui sont aux premières lignes de la lutte contre la COVID-19.
La pandémie de la COVID‑19 restera gravée dans l’histoire du Québec et changera à jamais la société telle que nous la connaissions jusqu’alors.
« Ce fléau nous a frappés sur plusieurs fronts et aura marqué les citoyens de toutes générations avec des conséquences dont nous ne prenons pas encore la pleine mesure. Malheureusement, ce sont les plus vulnérables des nôtres, les aînés, qui en auront le plus souffert. Il y a déjà plus d’une année que les forces vives du Québec et que l’ensemble de la population se sont mobilisés dans une lutte constante pour faire reculer la pandémie, pour que nous cessions de faire le décompte des victimes et qu’enfin nous puissions aspirer à un retour vers une certaine normalité. Cette journée est aussi une occasion d’offrir notre reconnaissance envers toutes ces personnes : ambulanciers, personnel soignant, commis de livraison, policiers, personnel d’épicerie, travailleurs essentiels dans les usines et beaucoup d’autres qui ont assuré les services essentiels à la population durant la pandémie, au risque de leur propre santé. Nous leur devons beaucoup; merci ! », exprime la députée de Shefford.
Dès le matin, une mise en berne nationale du drapeau du Québec a été observée sur tous les édifices publics du gouvernement, des municipalités et des représentations du Québec à l’étranger. Une cérémonie a ensuite eu lieu sur le parvis de l’hôtel du Parlement de Québec.
« La nation québécoise n’est pas seule à déplorer un triste bilan de la pandémie, mais il est de notre devoir de nous souvenir et d’honorer ensemble la mémoire des milliers de victimes qui ont succombé au virus, car c’est aussi ensemble que nous allons nous relever et bâtir nos lendemains », conclut Andréanne Larouche.