Crédit photo : Parti conservateur du Canada
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Après plus de huit ans en tant que député d’Arthabaska à l’Assemblée nationale, Éric Lefebvre relève un nouveau défi. C’est en fonçant tête première, et avec confiance, qu’il est candidat conservateur dans Richmond-Arthabaska pour le scrutin fédéral du 28 avril.

Fort reconnaissant à l’endroit des citoyens qui l’ont selon lui fort bien accueilli en général, Éric Lefebvre affirme être fier de son bilan. Au-delà des 900 millions $ investis dans Arthabaska durant son passage en tant que député, celui qui a été également conseiller municipal à Victoriaville durant huit ans soutient avoir constamment été à l’écoute de la population.
Quant au choix du parti qu’il souhaite représenter, M. Lefebvre assure que c’est pour lui une famille politique naturelle depuis plus de 20 ans. Il avait d’ailleurs candidat pour les Conservateurs en 2008.

Son départ de la Coalition Avenir Québec en avril 2024, qui avait suscité alors certains questionnements, était selon lui nécessaire dans les circonstances. Il voulait avant tout continuer à bien servir les électeurs, précisant avoir fait preuve de transparence et de respect.

« J’ai été approché par Pierre Poilievre il y a un peu plus d’un an, pour savoir si j’étais prêt à amener une voix forte pour le Québec », a-t-il déclaré en entrevue pour CIAX-FM.
M. Lefebvre affirme que représenter les électeurs est un grand privilège. Il souhaite continuer à être les yeux, la voix et les oreilles des citoyens.

L’ouverture de bureaux de circonscription à Windsor et à Val-des-Sources représente pour lui un pas majeur dans cette direction.
« Je veux m’assurer d’être près de la population, comme je l’ai toujours fait », soutient-il.

Le développement économique de Richmond-Arthabaska fait partie des priorités de M. Lefebvre.

« On se doit d’avoir une économie qui est forte dans la région. On a des entrepreneurs dynamiques. Alors, je veux m’assurer de les supporter », dit-il.
Les aînés doivent également, ajoute-t-il, avoir une voix forte à Ottawa, tout comme la jeunesse qui représente l’avenir de la société.

Quant à la fameuse « question de l’urne », soit la guerre commerciale contre le Canada lancée par le président américain, Donald Trump, M. Lefebvre fait remarquer que le pays a été trop dépendant des États-Unis.

« Ce qu’il faut maintenant faire, c’est du commerce est-ouest, c’est-à-dire à l’intérieur même de notre pays. On doit enlever les barrières entre les dix provinces canadiennes pour faciliter le commerce entre elles. Il faut également regarder du côté de l’Europe afin d’exporter là-bas. Et notre parti propose un corridor énergétique, qui va nous permettre d’exploiter nos ressources naturelles. Nos plus grandes richesses sont sous nos pieds », allègue le candidat conservateur, ajoutant que les renégociations de l’entente de libre-échange avec les États-Unis et le Mexique sont cruciales.

Le candidat conservateur promet, par ailleurs, s’il est élu, de protéger la gestion de l’offre, étant fort sensible aux préoccupations des agriculteurs.
« Le Parti conservateur a toujours défendu la gestion de l’offre et l’on va continuer de le faire », lance-t-il.

Dans un récent communiqué de presse, M. Lefebvre a soutenu que le Québec est un exemple pour l’ensemble du Canada en matière d’identité et de conviction.

« Chaque jour, le Québec défend son identité avec courage et détermination. Défendre notre langue et notre culture, c’est ça être Conservateur. Le Parti conservateur du Canada est celui qui a reconnu le Québec comme étant une nation. Le Parti va toujours défendre la francophonie et ce serait un honneur pour moi de porter votre voix au Parlement d’Ottawa », a-t-il souligné en paraphrasant le chef du parti, Pierre Poilievre.

M. Lefebvre insiste sur son bagage d’expériences au niveau politique, en plus d’avoir géré un commerce à Victoriaville et une entreprise dans le domaine de la construction à Saint-Ferdinand.
Ses fonctions de whip en chef pour le gouvernement caquiste, durant six ans, ont également fait partie de ses moments majeurs en politique.

« Cette expérience-là, je veux la mettre à profit pour Richmond-Arthabaska, pour le Québec et pour le Canada », conclut M. Lefebvre.

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