Le Val-Ouest

Le parc de la Toile officiellement inauguré à l’Odyssée

« Le parc de la Toile est un espace de découvertes et d’activités physiques. Il est notre réponse au déficit nature des élèves de l’école secondaire de l’Odyssée », résume l’enseignant et responsable du projet, Nicolas Busque. Le parc tire son nom de l’équipe sportive de l’établissement de Valcourt, les Spyder (araignée).

Quatre parties distinctes composent le parc : un amphithéâtre, un terrain de volleyball, un mur d’escalade de blocs ainsi qu’un panneau solaire.  Le mur d’escalade a été peint de formes géométriques colorées par les élèves de cinquième secondaire de la classe de l’enseignante Léonie Métivier.

Les étudiants en science de quatrième secondaire seront appelés à élaborer le circuit électrique qui permettra au panneau solaire de fournir en électricité des bornes de recharge pour téléphones intelligents mis à la disposition des jeunes.

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Le projet s’est mis en branle à la rentrée scolaire 2020, à la suite d’une initiative du Conseil Sport Loisir de l’Estrie. Marie-Claude Farrell est la directrice de l’école : « C’est un projet qu’on a commencé avec le Centre de services scolaire des Sommets. On a fait une demande au Ministère de l’Éducation pour avoir une subvention particulière pour améliorer notre cour d’école. C’est un partenariat 1/3-1/3-1/3. Donc il fallait ramasser le tiers des sous. »

Ce tiers fut comblé par divers partenaires de la région. On retrouve d’ailleurs certains de leur représentant sur la photo d’en-tête de l’article. Dans la rangée arrière, de gauche à droite, on reconnaît Patrice Desmarais, maire du Canton de Valcourt, Marc Picard, directeur général d’Ecopak, et Roch Bourassa, administrateur à la Caisse Desjardins du Val-Saint-François.

Sur la rangée avant de cette même photo, on retrouve le personnel de l’école secondaire de l’Odyssée : Marie-Claude Farrell, directrice, Stéphane Bernier, responsable des sports, et Nicolas Busque. « Le concept de laisser un legs est hyper important à l’école. Quand on fait un projet, on veut que les élèves puissent dire : ‘C’est moi qui ai travaillé là-dessus’ », souligne M. Busque.

Une nouvelle, un événement à faire paraître?

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