Le Val-Ouest

Chroniques

Mon cœur est une perdrix
Nicolas Proulx / Chroniqueur

L’Avalé du Val – Mon cœur est une perdrix

Mon père ne sait plus qui je suis.  Cela s’est passé en février.  Plus tôt, cet hiver, il se pensait parfois le fils et moi le père (ou le frère…).  Ça revenait.  Ça repartait.  Il garde maintenant les yeux fermés. Quand il les ouvre, je ne sais pas ce qu’il voit. Je ne sais pas

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Faits d’hiver
Michel Carbonneau / Chroniqueur

L’hydre de la publicité

Dans un article intitulé UNE INITIATIVE QUI PORTE SES FRUITS (1), Pierre-Elliot Levasseur, président du journal La Presse, se félicitait du succès d’une approche publicitaire nouvellement adoptée :  « Afin de poursuivre notre mission, nous avons entre autres introduit un nouveau concept de vidéo publicitaire dès l’ouverture de l’édition de La Presse+. » À chaque ouverture du journal sur ma

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Julie Lachance
Julie Lachance / Chroniqueuse

Connaissez-vous la kinésithérapie?

La kinésithérapie c’est la thérapie par le mouvement. Cette technique thérapeutique de massothérapie avancée a pour but de redonner l’amplitude normale à une partie du corps, par des mobilisations lentes et fluides, en suivant la respiration du client. Le déroulement d’une séance débute d’abord par un questionnaire santé visant à bien comprendre la problématique, pour

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Mon cœur est une perdrix
Nicolas Proulx / Chroniqueur

L’Avalé du Val – Jeunesse

Samedi passé, je suis allé skier à Melbourne au Centre de ski de fond Richmond-Melbourne.  Un autre joyau caché du Val.  J’y vais pour le paysage, bien-sûr, mais aussi pour les côtes, les dures montées, le défi physique.  Je conseille la 9 et la 10, deux belles collines à grimper avec courage.  C’est dur, mais

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Josée Fontaine
Josée Fontaine

Au gré du vent – La bienveillance

Mars.  Ça fait un an que nous sommes en confinement.  En cette période où l’attente peut causer de l’impatience, j’ai envie de vous parler de bienveillance.  Je souris toujours quand je dis ce mot.  Bienveillance.  Un mot doux devenu férocement à la mode dans les dernières années.  Une de mes sœurs est aussi allergique au

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La Gouffre de Carole Massé
Le Val-Ouest

La Puce à l’œil – La Gouffre de Carole Massé

  Résumé Estelle a 14 ans en 1951, lorsqu’elle tombe sous le charme de Gloria, une ex-danseuse de revue de Montréal installée pour les vacances d’été à Baie-Saint-Paul, devant la rivière du Gouffre. Rêvant d’entreprendre une carrière à Hollywood, mais pour l’instant à court d’argent, Gloria a trouvé un gîte chez Émile, qui opère sa

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Mon cœur est une perdrix
Nicolas Proulx / Chroniqueur

L’Avalé du Val – Le frette

Comment dire le frette sans utiliser le mot frette?  Un grand froid?  Non.  On dirait deux prétentieux qui ne se parlent plus.  Un froid glacial?  Non plus.  Les deux mêmes crés fins s’haïssent encore plus.  Un froid polaire? J’entends un Français qui capote à moins 5 au thermomètre. Non. Frette, ça dit tout.  Ça s’entend. 

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Danielle Richard
Danielle Richard

L’intelligence de Valentin

Permettez-moi d’émettre un point sur les répercussions des évènements mondiaux actuels sur notre santé émotionnelle.  Juste le temps d’entendre résonner nos cœurs face aux effets de la solitude imposée.  Face au confinement par bulles parfois malsaines.  Ma chronique vous propose une réflexion sur le potentiel du pouvoir que nous détenons tous.  Celui du créateur du changement. Je parle ici

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Bondrée de Andrée A. Michaud
Le Val-Ouest

La Puce à l’œil – Bondrée de Andrée A. Michaud

Résumé Été 67. Le soleil brille sur Boundary Pond, un lac frontalier rebaptisé Bondrée par Pierre Landry, un trappeur canuck dont le lointain souvenir ne sera bientôt plus que légende. Le temps est au rire et à l’insouciance. Zaza Mulligan et Sissy Morgan dansent le hula hoop sur le sable chaud, les enfants courent sur

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Michel Carbonneau
Michel Carbonneau / Chroniqueur

À vrai dire

L’usure du temps, la baisse de la garde et, il faut bien le reconnaître, l’érosion des valeurs anciennes auront eu raison de ta santé. Assaillie de toute part, tu as perdu de ta superbe. Petit à petit, on a pris ses distances, on t’a délaissée jusqu’à ne plus savoir te reconnaître, toi, la vérité1. Est-ce

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